Alors que l’équipe réserve Régional 2 du Paris 13 Atletico a disputé sa première journée de championnat, il y a plusieurs jours, le coach Helder Simao fait le point en ce début de saison !
Helder, quelle est ton analyse de la première rencontre de R2 jouée contre l’AS Ararat Issy (0-0) ?
Un résultat logique sur l’ensemble du match. On n’a pas vraiment fait ce qu’il fallait pour le remporter et on n’a pas non plus été mis en danger… On aurait tout de même pu marquer en première mi-temps en étant plus adroits. On a aussi manqué de vitesse dans le jeu et on n’a pas mis les ingrédients nécessaires dans les transitions défensives/offensives.
Il faut dire que tu repars avec un groupe renouvelé en profondeur…
Oui, c’est une nouvelle équipe avec beaucoup de jeunes. Il a fallu tout recommencer. Il faut un peu de temps, que les joueurs adhèrent au projet et s’adaptent les uns aux autres. J’ai confiance, ça devrait le faire !
Quel est l’objectif cette saison ?
La montée en Régional 1 ! C’est un objectif personnel et c’est aussi une volonté du club. On veut réduire l’écart entre l’équipe fanion National 2 et la réserve, ça serait plus simple pour tout le monde…
D’après toi, quels ingrédients vont être nécessaires pour y parvenir ?
L’état d’esprit, le renfort des jeunes du groupe National 2, mais aussi les joueurs de qualité faisant partie du groupe Régional 2 car certains ont pas mal d’expérience. Si la mayonnaise prend bien, ça peut le faire. On a failli faire quelque chose la saison passée avant l’arrêt des championnats à cause du Covid-19. On va voir ce que ça donne sur les cinq premiers matches… On espère accrocher le bon wagon !
Comment as-tu géré ton recrutement ?
J’ai ciblé par rapport à un petit manque qu’on avait déjà en Régional 2 la saison dernière au niveau des joueurs offensifs…
Diriger une équipe réserve, plutôt qu’une équipe fanion, qu’est-ce que cela implique ?
Ce n’est pas évident, il faut savoir s’adapter. La chance qu’on a c’est d’être l’équipe réserve d’une National 2 où il y a vraiment de la qualité. Il faut prendre ce qu’il y a, mais le mot d’ordre c’est : l’adaptation !